Entrée : un ensemble fini de tuiles.
Question : peut-on paver le plan avec elles ?
Différents modèles...
On peut aussi paver des carrés, des tores, etc.
✎ semi-décidable
✎ semi-décidable
Wang pensait que c'était le cas
Tuiles de Wang faciles à définir mais pas pratiques à utiliser.
→ sous-shifts de type fini
Informellement :
Preuve. On convertit une instance de l’un en instance équivalente de l’autre
✎ Preuve
→ Il existe un pavage si et seulement si la machine ne termine pas sur l’entrée vide
$$\overrightarrow{p_1} = \vector{x_1}{y_1} \qquad\overrightarrow{p_2} = \vector{x_2}{y_2}$$
$$x_2\overrightarrow{p_1} - x_1\overrightarrow{p_2} = \vector{0}{x_2y_1 − x_1y_2}$$
$$y_2\overrightarrow{p_1} - y_1\overrightarrow{p_2} = \vector{y_2x_1 - y_1x_2}{0}$$
→ Un ensemble de tuiles est aperiodique s’il pave le plan mais n’admet aucun pavage horizontalement et verticalement périodique
✎ Preuve (double compacité !)
Robinson 1970
Idées :
Idées :
Pas grave
→ les rectangles deviennent carrés
Preuve par l’absurde en considérant le plus petit mal aligné
Rmq : Comme des bras infinis ne peuvent pas apparaître dans une configuration bi-périodique, on peut supposer que tout carré a un voisin dans chaque direction
On veut des carrés arbitrairement grands
Strucure imposée (récurrence)
Apériodicité insuffisante pour conclure
→ On injecte du calcul dans la structure auto-similaire